Politique, en Côte d’Ivoire : Fernand Ahibo, 19 ans de protocole et quelques années, proche collaborateur du président Houphouët-Boigny, témoigne de la glorieuse épopée de la Côte d’Ivoire et répond à l’ancien directeur du Protocole d’État. La Côte d’Ivoire n’est plus la même mais nous l’aimons quand même.
Ses années Nanan Houphouët
Son vibrant appel à ses sœurs et frères Ivoiriens
Georges Ouégnin à la Une des médias :
Yes We Can
"I Got a Crush...On Obama" By Obama Girl
VIVA OBAMA 2008
Barack Obama on Ellen
The Audacity of Hope
Spanish Reggaeton
Yes Yes, We Can !
Obama Girl vs Giuliani Girl
One Voice
Hillary Clinton
Le Président Olusegun Obasanjo confirme son départ de la Présidence en 2007
Le Président Gabonais Bongo Ondimba éteint ses 71 bougies (30 décembre 1935 - 30 décembre 2007. Joyeux anniversaire, Monsieur le Président.
L’ancien président du Malawi, Bakili Muluzi, qui est soupçonné de complot, a été arrêté dimanche pour une raison indéterminée à l’aéroport international de la capitale administrative Lilongwe de retour du Royaume-Uni, a indiqué son avocat.
"Nous ne savons pas pourquoi. Je n’ai pas vu le mandat d’arrestation", a déclaré l’avocat Fahad Assani.
Il a précisé que M. Muluzi, qui venait de débarquer d’un vol de la compagnie nationale Air Malawi, avait été interpellé par la police puis embarqué dans un avion militaire vers une destination non précisée.
L’ex-président, qui avait succédé en 1994 au dictateur Kamuzu Banda à l’issue des premières élections démocratiques malawites, est soupçonné d’être impliqué dans un complot présumé de son parti, allié à d’anciens généraux et à des militaires d’active.
M. Muluzi a rejeté toute idée de complot contre son rival, le président Bingu wa Mutharika, affirmant qu’il n’est pas "une personne violente prête à prendre le pouvoir par la force".
Il avait désigné M. Mutharika pour lui succéder en 2004. Mais les deux hommes, qui doivent s’affronter aux élections de l’an prochain, se sont brouillés après que le chef de l’Etat eut abandonné le Front démocratique uni (UDF) de M. Muluzi et fondé son propre parti.
Le président Mutharika avait exprimé il y a deux semaines des craintes sur un complot visant à le renverser.
Au lendemain de son discours, quatre personnes avaient été interpellées, dont l’ancien chef d’état-major et un ancien commandant de police, puis libérérés sous caution.
Le chef de l’Etat avait fait état de renseignements selon lesquels son prédécésseur planifiait "de le renverser par le biais de l’Article 65".
"C’est de la trahison... même en Grande Bretagne et aux Etats-Unis, une personne qui essaie de renverser le gouvernement s’expose à des sanctions", avait-il ajouté.
Il faisait référence à un article controversé de la Constitution qui a soulevé un vif débat dans ce pays d’Afrique australe parce qu’il autorise le président du Parlement à renvoyer les députés qui ont changé de camp.
Le gouvernement minoritaire de M. Mutharika a récupéré la plupart de ces députés transfuges. Ses rivaux tentent depuis de pousser le président du Parlement à exclure ces parlementaires et forcer ainsi le chef de l’Etat à se démettre. Malawi - 25 mai 2008 - AFP