Villes & Stades
Edmonton Le stade du Commonwealth, 59 500 places
Montréal : Le Stade olympique, capacité 55 000 places
Ottawa : Le stade Frank Clair de Lansdowne Park, 28 826 places
Toronto : National Soccer Stadium, 20 000 places
Vancouver : Le stade Swangard, capacité 10 000 places
Victoria : Le Royal Athletic Park, 10 000 places
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Les matches du Mondial en Afrique du Sud
Vendredi 11 juin 2010
Afrique du Sud - Mexique : 1-1
Uruguay - France : 0-0
Samedi 12 juin
3 : 16:00 : Johannesburg - JEP : Argentine - Nigeria
4 : 13:30 : Nelson Mandela Bay/Port Elizabeth : Rép Corée - Grèce
5 : 20:30 : Rustenburg : Angleterre - Etats-Unis d’Amérique
L’équipe de France a été décevante pour son premier match de Coupe du monde. Les joueurs de Raymond Domenech n’ont pu faire mieux qu’un triste match nul (0-0) face à des Uruguayens accrocheurs et bien regroupés derrière.
Avec l’apport d’Abou Diaby, titulaire surprise au milieu de terrain à la place de Florent Malouda, les Français ont plutôt dominé mais sans se créer beaucoup d’occasions très nettes et n’ont pas su exploiter leur supériorité numérique après l’expulsion de Nicolas Lodeiro pour un deuxième carton jaune à la 81e minute. A l’issue des deux premiers matches du groupe A de ce Mondial sud-africain, les quatre équipes sont à égalité avec un point puisque l’Afrique du Sud et le Mexique ont également fait match nul (1-1) un peu plus tôt dans la journée. Source : Reuters, France 24
1 Brésil
2 Espagne
3 Portugal
4 Pays-Bas
5 Italie
6 Allemagne
7 Argentine
8 Angleterre
9 France
13 Grèce
14 Etats-Unis d’Amérique
15 Serbie
16 Uruguay
17 Mexique
18 Chili
19 Cameroun
20 Australie
21 Nigeria
24 Suisse
25 Slovénie
27 Côte d’Ivoire
30 Algérie
31 Paraguay
32 Ghana
34 Slovaquie
36 Danemark
38 Honduras
45 Japon
47 République de Corée
78 Nouvelle-Zélande
83 Afrique du Sud
105 RDP Corée
Source : fifa, 26 mai 2010
L’Afrique du Sud a ouvert vendredi le Mondial de football avec un show pétillant mais n’a pas réussi à battre le Mexique (1-1) malgré le soutien d’un public enflammé, au sein duquel ne manquait que Nelson Mandela, excusé après un décès dans sa famille. L’Afrique du Sud a ouvert vendredi le Mondial de football avec un show pétillant mais n’a pas réussi à battre le Mexique (1-1) malgré le soutien d’un public enflammé, au sein duquel ne manquait que Nelson Mandela, excusé après un décès dans sa famille.
Baobabs, peaux de bête, pagnes colorés, danseurs endiablés et des artistes venus des six pays africains sélectionnés pour la compétition ont donné le ton de cette première Coupe du monde sur le continent noir, lors de la cérémonie d’ouverture au stade de Soccer City de Johannesburg. Dans la foulée, la sélection nationale, les Bafana Bafana ("garçons" en zoulou), et les joueurs mexicains sont entrés dans le vif du sujet. Malgré les encouragements tonitruants des vuvuzelas, le onze sud-africain a été tenu en échec par la Tri, 1 à 1.
Le second match de la journée, France-Uruguay au stade Green Point du Cap (sud-ouest), s’est également conclu sur un nul (0-0) après une prestation retenue. Autre déception : le héros de la liberté, Nelson Mandela, avait dû renoncer à être de la partie après le décès d’une de ses arrière-petites-filles, Zenani Mandela, 13 ans, tuée dans la nuit dans un accident de voiture. L’adolescente est morte alors qu’elle rentrait d’un méga-concert à Soweto, qui avait lancé les festivités officielles du Mondial. Le conducteur de la voiture dans laquelle elle se trouvait a été arrêté et inculpé pour conduite en état d’ivresse.
Malgré l’absence du Nobel de la Paix, sa esprit volontaire s’est manifesté lors du spectacle d’ouverture : dans un clip vidéo projeté au milieu d’une chanson qu’il adore, "Hope" (Espoir), l’icône planétaire a appelé les fans à ne jamais baisser les bras et à "surmonter l’adversité". Nelson Mandela, bientôt 92 ans, est l’un des artisans de l’attribution de la Coupe du monde à son pays, qui compte en profiter pour démontrer les progrès enregistrés depuis la chute de l’apartheid en 1994. Et plus largement pour changer l’image du continent.
"La Coupe du monde doit montrer au reste de la planète la beauté des paysages et de l’humanité, les progrès et l’esprit dynamique de notre continent", a déclaré le chef de l’Etat sud-africain Jacob Zuma en accueillant une vingtaine de ses pairs pour l’événement. Dirigeants et dignitaires de la Fifa se trouvaient dans les gradins quand des avions militaires ont survolé le stade pour marquer le lancement de la grand-messe sportive. En revanche, près de la moitié des 85.000 détenteurs de billets ont manqué tout ou partie de la cérémonie d’ouverture, en raison de problèmes de transport et des contrôles de sécurité scrupuleux à l’entrée du stade où 34.000 agents avaient été déployés.
Les rues de la capitale économique étaient bloqués sur des kilomètres à la mi-journée et le système de transport publics mis en place pour acheminer les fans jusqu’au stade a saturé. "Je suis extrêmement déçu", se plaignait Methobane Lebelo, dont la vuvuzela n’a animé que les quais de la gare principale de Johannesburg. Mais le jeune homme a reconnu sa part de responsabilité : "Je suis parti trop tard de chez moi". Un travers très courant en Afrique du Sud, où les stades du championnat national ne se remplissent souvent qu’en cours de match. Ces galères de transport n’ont pas empêché les Sud-Africains de jouir de la fête dans une unité digne du rêve de nation arc-en-ciel cher à Mandela. Noirs, Blancs, Indiens et métis ont chanté, sauté, pleuré et ri ensemble. Tous unis derrière les Bafana.
"On ne pouvait pas demander mieux : un stade rempli à pleine capacité, un pays hôte désireux de gagner, une atmosphère incroyable et du football spectaculaire", en a conclu Danny Jordaan, le chef du comité local d’organisation. Source : Johannesburg (AFP) (TV5) - 11 juin 2010 21:08
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Coupe du monde 2006 - Allemagne