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Communiqué
Le Premier ministre Stephen Harper s’est réuni aujourd’hui avec des dirigeants de l’Afrique et des Amériques dans le cadre des efforts déployés par le Canada au G-8 pour dialoguer avec d’importants partenaires internationaux au sujet du développement et de la sécurité régionale et internationale.
Sa première réunion, en compagnie de dirigeants de l’Afrique du Sud, de l’Algérie, de l’Éthiopie (président du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique), du Malawi (président de l’Union africaine), du Nigéria et du Sénégal, a perpétué la solide tradition de dialogue du G-8 avec les partenaires africains. Les dirigeants ont discuté de leurs efforts visant à promouvoir l’importance que revêt la santé de la mère, du nouveau-né et de l’enfant pour que l’Afrique atteigne les Objectifs du Millénaire pour le développement.
Par la suite, des dirigeants de la Colombie, d’Haïti et de la Jamaïque se sont joints au groupe pour discuter plus en détail des problèmes de sécurité régionale et internationale, qui s’étendent des catastrophes naturelles à la menace posée par les organisations criminelles.
« Nous avons parlé des menaces communes à notre sécurité et des moyens de les écarter ensemble. Les points de vue de nos partenaires des Amériques et de l’Afrique ont permis de fonder nos discussions sur des exemples concrets », a déclaré le premier ministre Harper.
Bon nombre d’États et de régions peinent à faire face aux vulnérabilités constantes et omniprésentes en matière de sécurité — dont le terrorisme, le crime organisé et le trafic de stupéfiants —, situation qui menace toujours la stabilité et la prospérité mondiales. Ces vulnérabilités nuisent au développement durable et à la gouvernance démocratique.
« Les liens entre les organisations criminelles et les terroristes préoccupent vivement tous nos pays, a ajouté le Premier ministre. Pour les confronter, nous devons coopérer de façon efficace, tout en respectant les institutions démocratiques et en protégeant les droits de la personne. »
Huntsville, Ontario – 25 uin 2010
Le Premier ministre Stephen Harper a annoncé aujourd’hui qu’après le Sommet de Muskoka, la contribution totale du Canada au titre de l’initiative sur la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants s’établira à 2,85 milliards de dollars sur cinq ans. Le gouvernement versera 1,1 milliard de dollars en nouvelles ressources et renouvellera son financement actuel de 1,75 milliard de dollars pour les cinq prochaines années. Son engagement sera permanent et à long terme. « Je suis très heureux d’annoncer la contribution du Canada à cette initiative cruciale. Notre contribution changera de façon concrète la vie des personnes les plus vulnérables du monde, a déclaré le Premier ministre. Le Canada a ouvert la voie pour mobiliser les dirigeants des pays du G-8 et de ceux qui n’en sont pas membres, les principaux donateurs et des fondations privées dans cette initiative visant à réduire les taux de mortalité des mères et de leurs enfants. Nous avons réussi. »
Le compte-rendu des résultats sera partie intégrante de la contribution du Canada à l’Initiative sur la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants. Nous allons concevoir un cadre de responsabilisation rigoureux pour mesurer nos progrès, faire le suivi des résultats et veiller à ce que les fonds d’aide des Canadiens soient utilisés efficacement pour contribuer à une réduction durable de la mortalité maternelle et infantile. Document du sommet
Note d’information
Après le Sommet de Muskoka, la contribution totale du Canada au titre de l’initiative sur la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants s’établira à 2,85 milliards de dollars sur cinq ans. Le gouvernement versera 1,1 milliard de dollars en nouvelles ressources et renouvellera son financement actuel de 1,75 milliard de dollars pour les cinq prochaines années. Son engagement sera permanent et à long terme. En ciblant les principales causes de mortalité des mères, des nouveau-nés et des enfants, les efforts du Canada appuieront des approches globales et intégrées pour leur offrir les services de santé nécessaires. Alignés sur les principes établis à la réunion, tenue à Halifax en avril dernier, des ministres du G-8 responsables du développement, les efforts de programmation du Canada seront entièrement intégrés aux plans prévus par les pays concernés sur la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants, et se concentreront sur un nombre limité de pays à haut risque tels que Haïti, l’Afghanistan, le Mali, la Tanzanie et le Mozambique.
Compte tenu des besoins importants que connaît l’Afrique sub-saharienne, environ 80 % du financement du Canada seront destinés aux pays de cette région. Les efforts que nous déployons pour améliorer la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants s’appuieront sur le financement actuel du gouvernement – qui s’élève à 1,75 milliard de dollars pour les cinq prochaines années – portant ainsi à 2,85 milliards de dollars le financement total du Canada d’ici 2015.
Pour les mères et les nouveau-nés, le Canada concentrera ses efforts sur l’amélioration des services et des soins nécessaires pour assurer une grossesse et un accouchement en santé, en mettant particulièrement l’accent sur la satisfaction des besoins nutritionnels des femmes enceintes, des mères, des nouveau-nés et des jeunes enfants. Pour faire face à la mortalité infantile, le Canada travaillera à faciliter l’accès aux interventions très efficaces et rentables pour traiter les principales causes de mortalité des enfants de moins de cinq ans. S’appuyant sur l’expertise et les connaissances des Canadiens en santé maternelle et infantile, le Canada réunira des partenaires, des experts et des praticiens pour dégager et faire connaître les connaissances les plus à jour dans le domaine afin d’assurer que la programmation canadienne donne des résultats tangibles. La responsabilisation de l’obtention de résultats sera partie intégrante de la contribution du Canada à l’Initiative sur la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants. Nous allons concevoir un cadre de responsabilisation rigoureux pour mesurer nos progrès, faire le suivi des résultats et veiller à ce que les fonds d’aide des Canadiens soient utilisés efficacement pour contribuer à une réduction durable de la mortalité maternelle et infantile. Document du sommet
Communiqué
Le Premier ministre Stephen Harper a annoncé aujourd’hui que le Canada a payé sa part de la dette d’Haïti envers la Banque interaméricaine de développement et le Fonds international de développement agricole. Le Canada est le premier pays à faire tous les paiements requis pour annuler la dette que doit Haïti à toutes les institutions financières internationales.
« Deux semaines après le tragique tremblement de terre en Haïti, le Canada a demandé l’annulation totale de la dette de ce dernier auprès des organisations internationales comme la Banque mondiale et le Fonds monétaire international, a déclaré le Premier ministre Harper. Par l’annonce aujourd’hui, le Canada honore pleinement l’engagement international qu’il a pris en faveur du peuple haïtien et exhorte les autres pays à suivre cet exemple au Sommet des dirigeants du G-20 qui aura lieu cette fin de semaine. »
Même si le gouvernement avait déjà, avant le séisme, annulé la dette qu’Haïti devait à notre pays en vertu de l’Initiative canadienne d’allégement de la dette, le Canada a réussi, après la tragédie, à dégager un consensus au sein du G-20, en vue de remettre la dette que ce pays a auprès des institutions financières internationales.
Après le tremblement de terre qui a frappé Haïti en janvier 2010, le Canada a joué un rôle de premier plan dans l’intervention de la communauté internationale en apportant une importante aide humanitaire et de reconstruction. La remise de dette a été un volet essentiel de cette action.
Meilleur bilan mondial d’allégement de la dette d’Haïti
Après le tremblement de terre qui a frappé Haïti en janvier 2010, le Canada a joué un rôle de premier plan dans l’intervention de la communauté internationale en apportant une importante aide humanitaire et de reconstruction. La remise de dette a été un volet essentiel de cette action.
Même si le gouvernement avait déjà, avant le séisme, annulé la dette que devait Haïti à notre pays au titre de l’Initiative canadienne d’allégement de la dette, le Canada a réussi, après la tragédie, à dégager un consensus au sein du G-20 en vue de libérer Haïti de la dette de plus de 825 millions de dollars qu’elle avait auprès d’institutions financières internationales. Le Canada évalue sa part de la dette d’Haïti auprès de ces institutions à 33 millions de dollars américains.
Bien que le gouvernement du Canada ait annulé en 2009 toute la dette que lui devait Haïti dans le cadre de l’Initiative canadienne d’allégement de la dette, il a déployé des efforts constants pour faire annuler la dette active d’Haïti auprès des institutions multilatérales. Le gouvernement honore son engagement de payer la part du Canada de tous les paiements nécessaires pour atteindre cet objectif.
Lors de leur rencontre à Washington en avril et à Busan en juin, les ministres des Finances et les gouverneurs des banques centrales du G-20 se sont engagés à travailler avec les institutions financières internationales en vue d’éliminer la dette multilatérale d’Haïti.
Des progrès importants ont été réalisés en prévision du Sommet du G-20 à Toronto :
· La Banque mondiale a annulé la dette d’Haïti, qui avoisinait les 40 millions de dollars. Cette annulation a été rendue possible grâce à la contribution de plusieurs donateurs, notamment le Canada qui a offert la plus importante contribution financière, soit près de 8 millions de dollars américains.
· Le Fonds international de développement agricole (FIDA), un organisme des Nations Unies, a accepté une proposition qui serait financée par des ressources internes ainsi que des contributions de donateurs et qui permettrait d’effacer la dette d’Haïti évaluée à 58 millions de dollars américains. Conformément à sa quote-part traditionnelle au FIDA et par souci d’inciter d’autres donateurs à contribuer, le Canada a versé 3,5 millions de dollars américains et a demandé instamment aux autres membres du FIDA de fixer définitivement leurs contributions.
· Une entente de principe a été conclue afin d’éliminer la dette de 479 millions de dollars d’Haïti auprès de la Banque interaméricaine de développement (BID). Le Canada remboursera 21,6 millions de dollars à la BID dans le cadre de sa contribution à cet effort du G-20 et espère que les autres membres du Groupe qui ne l’ont pas déjà fait suivront son exemple.
· Le Conseil d’administration du Fonds monétaire international devrait bientôt approuver une proposition qui permettra d’alléger la dette que lui doit Haïti, qui s’établit à près de 284 millions de dollars américains. Le Canada appuie ces efforts et attend avec impatience qu’ils soient rapidement menés à bien.
Le Canada est le premier pays à faire tous les paiements requis pour annuler la dette que doit Haïti à toutes les institutions financières internationales.
Document du sommet, Huntsville, Ontario - 25 juin 2010