Tout sur le sommet du G8 en France
Deauville, la ville hôte
Les pays participants
Les documents officiels & Photos
Les anciens sommets du G8
Tout sur le sommet du G20
Cannes, la ville hôte
Les pays participants
Les documents officiels & Photos
Le précédent sommet du G20 à Toronto
5è sommet du G8 du Canada depuis son adhésion, en 1976.
Sommet du G8 de 2010 à Muskoka
G8 et G20 au Canada en 2010
Sommet du G8 à Évian (France), 1er - 3 juin 2003
Sommet du G8 à Kananaskis - 25-27 Juin 2002, Canada
Sommets & Congrès
Les pays membres du G20
Documents officiels du sommet
A la découverte de Toronto : Hôtels, Aéroport, Transport, Palais des congrès, etc.
La Grèce, le talon d’Achile de l’Europe (ahibo.com, Portail Panafricain)
Cannes, légendaire ville soleil, a pleuré sur la Grèce (ahibo.com, Portail Panafricain)
A Cannes, le festival des nouvelles puissances (Le Monde)
Malgré tout, le G20 a accouché deux couples : le couple Sarko/Merkel et le couple Sarko/Obama, tête d’affiche, à l’applaudimètre ... organisé. (ahibo.com, Portail Panafricain)
G20 de Cannes : un demi-échec sur fond de crise (Les Échos.fr)
Le sommet du G20 prend fin sur un bilan mitigé (Le Devoir.com)
G20 : la Russie pourrait accueillir le sommet de 2013 (le président russe Dmitri Medvedev)
Le sommet du G20 est clos, les questions demeurent (Le temps.ch)
Cannes, France (CNNMoney) — The debt crisis in Europe continues to hang over the global economy after a summit of world leaders last week failed to produce any tangible new solutions.
Attac : le G20 de Cannes a été "le sommet de la démission" (AFP)
Grèce, Italie, G20 : les trois fronts de Cannes (Le Figaro)
Canberra, 5 novembre (Xinhua) — Deux options semblent privilégiées en ce qui concerne le choix de la ville hôte du sommet du G20 de 2014, qui se tiendra en Australie : le Territoire de la capitale australienne (ACT) et l’Etat de Victoria sont l’un et l’autre susceptibles d’accueillir le sommet.
À l’occasion du sommet du G-20 à Cannes, le président du Groupe de la Banque mondiale, Robert B. Zoellick, a fait aujourd’hui la déclaration suivante : « Le G-20 a présenté aujourd’hui un programme destiné à restaurer la confiance dans l’économie mondiale en s’engageant à redynamiser la croissance, à créer des emplois, à assurer la stabilité financière et à promouvoir une mondialisation plus durable et solidaire. Comme chaque déclaration à l’issue d’un sommet, cet engagement sera jugé sur pièces au stade de la mise en œuvre.
Le Groupe de la Banque mondiale, qui représente 187 pays membres, est préoccupé par les retombées de la crise de la zone euro sur les pauvres du monde en développement. La crise a déjà eu pour effet d’assombrir les perspectives de croissances des pays en développement qui depuis cinq ans soutiennent l’activité mondiale en étant à l’origine des deux tiers de la croissance. Le financement du commerce et les flux de capitaux sont sous pression, et l’on redoute une diminution des prix des actifs et de la demande des consommateurs et des entreprises. Les pays en développement sont aujourd’hui moins en mesure de supporter un autre choc que lorsque la crise a éclaté en 2008, et leurs populations sont plus exposées que celles des pays développés à une détérioration de la conjoncture.
Les participants au sommet sont convenus qu’il serait bon d’examiner les ressources du FMI pour faire face à la crise. Ils se sont également accordés à reconnaître que l’Europe doit faire davantage pour éviter que les problèmes de la zone euro ne deviennent le problème des autres, ce qui passera par un suivi attentif des efforts de réforme économique. Cela exigera également de mettre en place un pare-feu financier européen doté de ressources suffisantes pour empêcher que la contagion financière emporte les pays le plus lourdement endettés. » Source : Banque Mondiale, Cannes, 4 novembre 2011
Last week I participated in the G20 Summit held in Cannes, France. Meetings among the heads of state and government continued from morning to night in Cannes, where it was raining with strong winds. Even in the break times between sessions, I scheduled one-on-one meetings with individual leaders to the greatest possible extent and also held discussion sessions with the members of the press who had accompanied me from Japan, at which I conveyed how the summit was progressing. It was two days of working at really high gear.
Discussions at the summit focused on how to contain the expansion of the European debt crisis triggered by the situation in Greece. Although the fundamental principle is to work towards solutions to European problems first and foremost within Europe, one matter confirmed at this summit was that the fiscal issues of a single nation are having repercussions upon the globe and causing economic and financial instability internationally.
With regard to Japan, reiterating something I’ve stated repeatedly in my first policy speech to the Diet as well as at subsequent Diet deliberations, press conferences, and other opportunities, I explained that strengthening the functions of our social security system to achieve a system with a high degree of sustainability will also contribute to putting Japan’s finances on solid footing. This will be conducted in accordance with the final draft plan for the comprehensive reform of social security and taxation systems compiled by the government and the ruling coalition in June.
I also explained to the heads of state and government of the various countries that Japan is concerned about what is likely speculative and disorderly movements vis-a-vis the historic rise in the value of the yen, and that Japan is engaging in foreign exchange interventions so as not to allow downside risks for the Japanese economy to actualize. I also stated Japan’s recognition that this falls under the “excess volatility” and “disorderly movements” in exchange rates that the G20 has recognized until now.
Regardless, looking at the situation in Greece, this summit once again caused me to feel deeply the importance of upholding “national credibility”. In the airplane on my way back to Haneda airport, I was informed of the sudden passing of Mr. Takeo Nishioka, President of the House of Councilors. Being so sudden, the news was quite a shock to me. The very beginning of my engagement with the world of politics was during my university years, when I assisted in the campaign activities of the “New Liberal Club,” which had been formed by Mr. Nishioka. In that sense, if it had not been for Mr. Nishioka, I might never have set politics in my sights. He had graduated years earlier from the same university as I did, and he was a politician with an air of greatness. I continued to seek him out and I was fortunate enough to have received his advice on a number of occasions. Recently he had an unusual passion for reconstruction from the Great East Japan Earthquake and for the ideal modalities of politics, and this situation is much to my sorrow as I thought I would be able to get his insights into the future as well to guide me in broader perspective.
In order to live up in even a small way to the wishes of Mr. Nishioka, who, as a head of one of three branches of government, devoted his life by conducting his duties right up to the end, I myself also vowed before the soul of the deceased that I would carry out my self-determined mission, even if in a humble way. I once again offer my sincere prayers for the repose of his soul. Next weekend I will be attending the APEC summit, and I intend to speak to the other heads of state and government about a future vision for the Asia-Pacific region. Yoshihiko Noda, Prime Minister of Japan - November 7, 2011 - November 7, 2011 - http://nodasblog.kantei.go.jp/2011/11/111107.html
Londres (Royaume-Uni), 8 novembre 2011 - Les fluctuations importantes et brusques de la liquidité mondiale ont une incidence considérable sur la stabilité financière et la croissance économique du globe, a déclaré aujourd’hui le gouverneur de la Banque du Canada, Mark Carney, dans un discours prononcé devant la Chambre de commerce Canada–Royaume-Uni. « À moyen terme, la poursuite de tels cycles extrêmes de liquidité, si on ne s’emploie pas mieux à les atténuer, pourrait finir par menacer les marchés de capitaux ouverts et le système de libre-échange », a mis en garde M. Carney.
Le gouverneur Carney a précisé que les conditions de liquidité mondiale découlent d’interactions complexes entre plusieurs facteurs, dont les politiques macroéconomiques (comme l’orientation de la politique monétaire et le régime de change), la réglementation microprudentielle (par exemple, les règles sur les fonds propres et la liquidité), l’innovation sur les marchés financiers et l’appétit pour le risque. Lire la suite
La crise de l’euro profite à Nicolas Sarkozy ! Tel est le premier enseignement de notre sondage exclusif BVA, réalisé le week-end dernier, après le G20 de Cannes, mais avant l’annonce du plan de rigueur, qui confirme une (légère) remontée du chef de l’Etat….. http://www.leparisien.fr/espace-premium/actu/nicolas-sarkozy-remonte-francois-hollande-recule-09-11-2011-1709822.php (9 novembre 2011, 07h00
A l’occasion d’une réunion de l’Assemblée générale de l’ONU jeudi sur les résultats du Sommet du G20 en France, le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a rappelé aux Etats membres des Nations Unies qu’il avait vivement encouragé les dirigeants des vingt principales puissances économiques mondiales à ne pas oublier les plus vulnérables. « Le Sommet s’est déroulé dans un contexte de reprise économique hésitante et de manifestations contre le chômage et l’injustice sociale », a souligné Ban Ki-moon. « Sur cette toile de fond spectaculaire, j’ai répété mon message aux dirigeants du G20 : n’ignorez pas les plus vulnérables. Respectez vos promesses passées. Reconnaissez que l’investissement pour les pauvres est un investissement intelligent pour tous. » Le Secrétaire général de l’ONU a noté qu’en matière de sécurité alimentaire et nutritionnelle, le G20 s’était engagé à avoir une approche globale qui encourage la durabilité, promeuve la résilience, bénéficie aux petits exploitants et protège les personnes vulnérables.
Il s’est félicité des avancées du G20 dans différents domaines, notamment le Système d’information sur les marchés agricoles qui sera abrité par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Le G20 a aussi convenu que les denrées alimentaires à usages humanitaires achetées par le Programme alimentaire mondial (PAM) ne soient pas sujettes aux restrictions en matière d’exportation. « J’ai exhorté les dirigeants du G20 à s’assurer que tous ces engagements conduisent à des actions concrètes », a déclaré Ban Ki-moon. Le Président de l’Assemblée générale de l’ONU, Nassir Abdulaziz Al-Nasser, a également félicité jeudi les Etats membres du G20 pour leur « sommet fructueux ».
« Le communiqué final contient de nombreux messages et engagements importants », a-t-il dit. « Il est très important qu’il y ait un consensus sur la gravité de la crise économique et financière et la gravité de ses conséquences sociales si nous ne réagissons pas de manière collective. » M. Al-Nasser a également jugé positif le fait que « le G20 se soit engagé à coordonner étroitement ses politiques pour répondre aux défis immédiats auxquels est confrontée l’économie mondiale, en particulier le chômage des jeunes, la réforme du secteur financier et la menace d’un recours au protectionnisme commercial. » « J’ai été particulièrement satisfait de la reconnaissance par le sommet que les chocs économiques affectent de manière disproportionnée les plus vulnérables », a-t-il ajouté. Il a encouragé les membres du G20 à respecter leurs engagements sans délai. « La gravité de ces défis nécessite une action collective immédiate », a-t-il conclu. Source : Nouvelles ONU, 10 novembre 2011 12:50PM