Politique, en Côte d’Ivoire : Fernand Ahibo, 19 ans de protocole et quelques années, proche collaborateur du président Houphouët-Boigny, témoigne de la glorieuse épopée de la Côte d’Ivoire et répond à l’ancien directeur du Protocole d’État. La Côte d’Ivoire n’est plus la même mais nous l’aimons quand même.
Ses années Nanan Houphouët
Son vibrant appel à ses sœurs et frères Ivoiriens
Georges Ouégnin à la Une des médias :
Yes We Can
"I Got a Crush...On Obama" By Obama Girl
VIVA OBAMA 2008
Barack Obama on Ellen
The Audacity of Hope
Spanish Reggaeton
Yes Yes, We Can !
Obama Girl vs Giuliani Girl
One Voice
Hillary Clinton
Le Président Olusegun Obasanjo confirme son départ de la Présidence en 2007
Le Président Gabonais Bongo Ondimba éteint ses 71 bougies (30 décembre 1935 - 30 décembre 2007. Joyeux anniversaire, Monsieur le Président.
C’est aujourd’hui, 1er janvier, que la nouvelle limite des contributions politiques de 100 $ par année entre en vigueur. Auparavant, la limite des dons individuels était de 1000 $ annuellement. Toutefois, en période d’élection générale ou partielle, une contribution additionnelle de 100 $ est permise, en plus des premiers 100 $ déjà prévus par la loi. Pour compenser la baisse de revenu des partis ainsi engendrée, le financement public des partis politiques augmente. Premièrement, si un parti reçoit un montant de 20 000 $ durant l’année, le Directeur général des élections versera au parti un montant additionnel de 2,50 $ pour chaque dollar reçu. Ensuite, pour chaque tranche de 200 000 $ recueillis, l’État versera 1 $ par dollar recueilli.
Le gouvernement affirme que ce nouveau mode de financement vise à permettre aux nouveaux partis qui n’ont jamais participé à une élection, et qui n’ont donc pas droit à l’allocation annuelle du DGE, de se constituer plus rapidement un fonds électoral. Par ailleurs, l’allocation du DGE est elle aussi augmentée, en fonction de leurs résultats électoraux en pourcentage du vote obtenu. La somme à répartir est maintenant calculée en multipliant un montant de 1,50 $ plutôt que 0,85 $ par le nombre d’électeurs inscrits au moment de l’élection générale.
De plus, la nouvelle loi limite à 8 millions de dollars plutôt que 11,5 millions le montant permis de dépenses électorales. Ces mesures contenues dans le projet de loi 2 avaient été présentées par le Parti québécois en novembre dernier. Le ministre responsable de la Réforme des institutions démocratiques, Bernard Drainville, avait déclaré lors de la présentation du projet de loi que les partis politiques devaient « travailler à moderniser la démocratie ». Il avait fait valoir que les partis sont redevables aux citoyens et seulement aux citoyens.
De 3000 $ à 1000 $, à 100 $ En 2010, le Parti libéral avait lui aussi réduit la limite des contributions électorales. Le gouvernement Charest a fait passer de 3000 $ à 1000 $ la limite de contribution maximale pour « redonner confiance à la population dans les règles de financement des partis politiques », avait dit le ministre de la Justice de l’époque, Jean-Marc Fournier. Plusieurs scandales ont éclos au cours des dernières années concernant le financement occulte des partis politiques et des affaires de prête-noms. Radio-canada, 1 janvier 2013