Le Professeur Échimane Kouassi Antoine est décédé le lundi 21 juin 2010.
« Le but premier du Partenariat est de répondre à la nécessité croissante de développer des sources d’énergie renouvelables compte tenu à la fois de l’envolée des prix du pétrole, du réchauffement de la planète et des préoccupations que soulève la diminution des réserves de combustibles fossiles », indique le <" communiqué de la FAO publié à Rome.
Le Partenariat favorisera le développement des échanges internationaux dans les domaines du savoir-faire et de la technologie ainsi que l’élimination des barrières à l’élaboration et à la mise en ?uvre de projets communs. A court terme, le Partenariat mettra à jour l’inventaire des réseaux, initiatives et institutions existants s’occupant de bioénergie et fera le point sur les lacunes scientifiques.
Il aidera aussi les partenaires à identifier et à exécuter des projets bilatéraux et multilatéraux de développement durable des bioénergies et appuiera la formulation de directives destinées à mesurer les réductions d’émissions de gaz à effet de serre dérivant de l’utilisation de biocombustibles. La FAO a toujours oeuvré pour la cause des biocarburants comme moyen de réduire la pauvreté tout en produisant une énergie propre à faible coût.
« Avec les technologies adéquates, les abondantes disponibilités énergétiques pourraient être exploitées en convertissant la biomasse comme les résidus de récolte, les herbages, la paille et les broussailles en combustible, tandis que les cultures comme la canne à sucre, le maïs et le soja servent déjà à produire de l’éthanol ou du biodiesel », souligne l’agence de l’ONU.
« Au cours des prochaines décennies, les biocarburants pourraient assurer une partie croissante des besoins énergétiques de la planète. Mais nous devons faire en sorte que cela se fasse de manière durable », a déclaré Alexander Müller, sous-directeur général de la FAO pour le développement durable.
Source : onu-fao : new york, 25 septembre 2006