Après les footballeurs Ronaldo (Brésil) et Zinedine Zidane (France), l’attaquant international ivoirien de Chelsea, Didier Drogba, agée de 28 ans, est nommé ambassadeur itinérant du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD - ONU).
Communiqué de presse de la chef du Parti québécois, Pauline Marois
La Malbaie, le vendredi 21 septembre 2007 – La chef du Parti Québécois, Pauline Marois, tient à rectifier la perception véhiculée dans un article du journal français, Le Télégramme (Bretagne) paru ce matin et dont le bureau du premier ministre du Québec se fait le grand promoteur.
Les propos tenus par Mme Marois à l’occasion de son entretien privé avec Ségolène Royal mardi dernier sont exactement les mêmes que ceux qu’elle tient depuis le 13 mai dernier à l’effet que :
Le Parti Québécois doit rompre avec le piège d’échéancier ou d’obligation référendaire.
Ce que les Québécois ont dit le 26 mars dernier, ce n’est pas qu’ils sont contre la souveraineté. Ce qu’ils ont clairement dit, c’est qu’ils n’étaient pas prêts à faire un référendum sur la souveraineté, maintenant.
Aucun peuple ne peut renoncer à sa souveraineté. Aucun parti politique n’a moralement le droit d’écarter d’une manière définitive le droit d’un peuple à s’autodéterminer. Mais tout le temps et toute l’énergie passés à débattre la mécanique sont du temps et de l’énergie qui ne sont pas consacrés à convaincre de la nécessité de cette souveraineté.
Mme Marois ne fera aucun autre commentaire.