Politique, en Côte d’Ivoire : Fernand Ahibo, 19 ans de protocole et quelques années, proche collaborateur du président Houphouët-Boigny, témoigne de la glorieuse épopée de la Côte d’Ivoire et répond à l’ancien directeur du Protocole d’État. La Côte d’Ivoire n’est plus la même mais nous l’aimons quand même.
Ses années Nanan Houphouët
Son vibrant appel à ses sœurs et frères Ivoiriens
Georges Ouégnin à la Une des médias :
Yes We Can
"I Got a Crush...On Obama" By Obama Girl
VIVA OBAMA 2008
Barack Obama on Ellen
The Audacity of Hope
Spanish Reggaeton
Yes Yes, We Can !
Obama Girl vs Giuliani Girl
One Voice
Hillary Clinton
Le Président Olusegun Obasanjo confirme son départ de la Présidence en 2007
Le Président Gabonais Bongo Ondimba éteint ses 71 bougies (30 décembre 1935 - 30 décembre 2007. Joyeux anniversaire, Monsieur le Président.
ONU - Femmes : Sept africaines en lice
La création d’une agence de l’ONU pour l’égalité des sexes et l’autonomisation de la femme, annoncée par Ban Ki-moon, a suscité une concurrence sur le continent. Sur les dix candidatures retenues pour le poste de secrétaire générale adjointe de l’ONU Femmes, sept sont africaines. « Entrer dans une nouvelle ère de réflexion sur la condition féminine et répondre aux attentes des femmes du monde suscitées par un leadership onusien sur la question. » C’est en ces termes que le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies, Ban Ki-moon, a annoncé le 2 juillet la création d’une ONU Femmes, pour l’égalité entre les sexes et l’autonomisation de la femme. L’adoption de cette résolution est le résultat de quatre années d’âpres négociations entre les États membres et d’une campagne menée par les pays de l’Union européenne (UE) pour regrouper les principaux départements onusiens chargés du dossier des femmes, à savoir la Division de la promotion de la femme (DAW), l’Institut international de recherche et de formation pour la promotion de la femme (Instraw), le Bureau de la conseillère spéciale pour la parité entre les sexes et la promotion de la femme (Osagi) et le Fonds de développement des Nations unies pour la femme (Unifem).
Verdict le 15 septembre
Ouvertes en septembre 2009, les négociations sur le statut et les modalités budgétaires de cette nouvelle entité se sont poursuivies en avril 2010. Un comité de travail a été mis en place afin de solliciter des candidatures auprès des États membres pour le poste de secrétaire générale adjointe, laquelle sera chargée de chapeauter la future structure. Le nom de l’heureuse élue sera annoncé le 15 septembre, lors de l’ouverture de la 65e session de l’Assemblée générale de l’ONU. Sur les dix candidatures retenues, sept sont africaines*, ce qui place le continent en bonne position pour hériter du poste, d’autant que Ban Ki-moon s’est déclaré « prêt à nommer une femme du Sud ». En attendant, deux noms se détachent, ceux de Nebiha Gueddana, actuellement directrice de l’Office national tunisien de la famille et de la population, et de Louise Mushikiwabo, ministre rwandaise des Affaires étrangères.
Desiderata arabes
La Tunisie espère fortement l’emporter, estimant que son expérience sur le dossier des femmes est la plus édifiante dans la région et que le CV de sa candidate est pour le moins convaincant. Les États membres arabes considèrent, quant à eux, que le choix de Ban Ki-moon reflétera son intérêt pour la région et sa volonté de modifier l’image négative de l’islam en Occident. Et invoquent l’absence de femmes arabes aux postes de décision au sein de l’organisation internationale, notamment depuis le départ annoncé de la Saoudienne Thoraya Obaid, directrice exécutive du Fonds des Nations unies pour la population (Fnuap). Mais la balance pourrait aussi pencher du côté de la ministre rwandaise des Affaires étrangères, « ce qui indiquerait clairement, confie un observateur, la volonté des Nations unies de montrer leur implication dans le dossier rwandais ». Jeune Afrique ( Fawzia Zouari), 3 septembre 2010 à 16h:11