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5è sommet du G8 du Canada depuis son adhésion, en 1976.
Sommet du G8 de 2010 à Muskoka
G8 et G20 au Canada en 2010
Sommet du G8 à Évian (France), 1er - 3 juin 2003
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A la découverte de Toronto : Hôtels, Aéroport, Transport, Palais des congrès, etc.
Le Premier ministre Stephen Harper a annoncé aujourd’hui que le Canada sera l’hôte du Sommet des leaders du G20 qui se tiendra en juin 2010, en plus d’accueillir à Muskoka, du 25 au 27 juin de la même année, le Sommet du G8. Le Premier ministre a fait cette annonce conjointement avec le président coréen Lee Myung-bak.
« Les démarches entreprises lors des sommets du G20 se sont avérées cruciales à notre réponse collective pour contrer la crise économique mondiale, a déclaré le Premier ministre. Le Canada est un important participant à ces sommets car notre pays a un bilan économique enviable à partager. »
On a convenu à Pittsburgh qu’un deuxième Sommet du G20 se tiendrait à Séoul, en Corée, en novembre 2010. Le Premier ministre Harper et le Président coréen Lee Myung-bak ont collaboré étroitement sur cette entente. Les deux leaders s’engagent à prôner des changements significatifs des processus budgétaires et réglementaires afin de poursuivre la reprise et de prévenir d’autres périodes d’instabilité dans l’économie mondiale.
« Ceci représente une occasion sans précédent pour le Canada de faire preuve de leadership alors que nous poursuivons nos travaux en faveur de l’économie et que nous définissons la voie à suivre, a ajouté le Premier ministre. J’aimerais remercier le Président Lee pour ce partenariat. Nous sommes impatients d’accueillir les chefs d’État au Canada l’an prochain. »
Le Canada et la République de Corée co-présideront le sommet du G20 qui se tiendra en juin 2010. Source : September 25, 2009
Le Canada respecte son engagement de renforcer les institutions financières internationales
Le Premier ministre Stephen Harper a annoncé aujourd’hui que le Canada accroît la capacité de prêt de la Banque africaine de développement pour lui permettre de faire face aux pressions de la crise économique mondiale. Par cette mesure qui triplera temporairement le capital exigible de la Banque, le Canada réaffirme l’engagement pris au Sommet du G20 à Londres visant à renforcer et à aider les institutions financières internationales.
« Le Canada est le premier pays à répondre de façon aussi novatrice à ce besoin urgent des banques régionales, a déclaré le Premier ministre Harper. Notre aide reconnaît les efforts de la Banque africaine de développement pour disposer des ressources suffisantes afin de répondre rapidement aux demandes de ses membres emprunteurs, tout en poursuivant ses efforts visant à réduire la pauvreté. »
En augmentant le capital exigible de la Banque africaine de développement, ce qui sert de garantie aux actionnaires, le Canada accroît sa capacité de prêt de 2,6 milliards $US [2,8 milliards $CAN], venant ainsi tripler leur quote-part. La Banque peut donc augmenter de 75 % les prêts qu’elle accordera par rapport à ce qu’elle prévoyait accorder au départ en 2010 en s’appuyant sur le modèle novateur présenté par le Canada en avril dernier pour la Banque interaméricaine de développement.
Alors que les dirigeants sont réunis à Pittsburgh pour participer au Sommet du G20, le Premier ministre Harper présente un programme ciblé préconisant la pleine mise en œuvre des mesures de relance et de mesures concrètes visant à poursuivre la croissance du flux des échanges commerciaux, et il insiste sur l’importance de renforcer la réglementation du secteur financier à l’échelle nationale afin de favoriser une reprise économique durable et équilibrée. Source : Cabinet premier ministre du Canada, 24 septembre 2009, Pittsburgh (Pennsylvania, USA)
L’initiative prise par le Canada de mettre temporairement à disposition de la Banque africaine de développement (BAD) 2,6 milliards de dollars US [2,8 milliards $CAN] représente un accroissement de 200 % de notre quote-part. Ceci constitue un autre exemple de l’engagement du Canada envers l’Afrique. Cette initiative permettra à la BAD d’accroître de 75 % les prêts qu’elle avait prévu d’octroyer en 2010 pour faire face à l’augmentation de la demande causée par la crise financière.
La BAD est une institution régionale précieuse au sein de laquelle le Canada joue un rôle dynamique. Créée en 1964, la Banque a commencé ses opérations en 1966 et elle est la principale source de financement multilatéral destiné au développement économique, social et institutionnel de l’Afrique. Elle a pour mandat de promouvoir la croissance économique durable afin de réduire la pauvreté. Les prêts et subventions qu’elle accorde visent quatre priorités : les infrastructures, la gouvernance, l’intégration régionale et le développement du secteur privé. Le Canada est un membre non régional (le quatrième à égalité avec la France) et membre non emprunteur de la BAD depuis 1982.
La multiplication des demandes adressées à la BAD en raison de la crise économique mondiale a poussé à ses limites ses capacités de prêt. Les demandes de prêts et de subventions devraient en effet plus que tripler en 2009 et par rapport à l’an dernier pour atteindre l’équivalent de 9,65 milliards d’UC (unités de compte), soit environ 15,3 milliards de dollars US. La Banque devrait manquer de 3 milliards de dollars de liquidités au cours des deux prochaines années. L’augmentation temporaire du capital exigible aidera la Banque à se financer en attendant de trouver des ressources permanentes pour absorber la demande croissante.
L’investissement en capital fait par le Canada dans les banques régionales de développement, dont la BAD, est une combinaison de capitaux d’apport (apport en numéraire) et de capitaux exigibles. Le capital exigible garantit aux actionnaires que la Banque est en mesure d’utiliser au besoin cette partie du capital souscrit pour assumer ses obligations d’emprunt.
En souscrivant temporairement à d’autres parts du capital exigible, le Canada augmente le montant des garanties fixes, de sorte qu’à court terme, la capacité de prêt de la BAD sera directement majorée du même montant, et ce, jusqu’à ce qu’elle ait trouvé des ressources permanentes pour accroître son capital de base.
Le Canada détient actuellement 81 648 parts de la BAD, soit un investissement en capital souscrit de 816,48 millions d’UC, dont 81,75 millions sont des capitaux d’apport et 734,73 millions, des capitaux exigibles.
À titre de membre actif de nombreuses institutions financières internationales, le Canada a appuyé les efforts déployés pour fournir à leur secteur d’opérations les ressources et les outils nécessaires pour faire face à la crise économique et financière mondiale tout en veillant à l’entière exécution des programmes de développement à long terme. Le Canada a plus particulièrement versé des contributions substantielles en vue d’accroître les ressources du mécanisme de crédits bilatéraux du Fond monétaire international (FMI) et du Programme de liquidités pour le commerce mondial de la Société financière internationale.
Le Canada a doublé temporairement son capital exigible à la Banque interaméricaine de développement en vue de hausser immédiatement la capacité de prêt de la Banque pour qu’elle puisse faire face aux répercussions de la crise financière dans les Amériques. Le Canada s’est joint à d’autres membres de la Banque asiatique de développement et a approuvé une augmentation de 200 % de ses capitaux en vue de l’aider à prendre des mesures énergiques pour pallier la crise tout en poursuivant les efforts de développement et de réduction de la pauvreté à long terme. Le Canada continue de participer aux discussions permanentes sur des capitaux adéquats pour les autres banques régionales de développement.
Le ministre des Affaire étrangères représente le Canada au Conseil des gouverneurs de la BAD. L’Agence canadienne de développement international dirige les activités quotidiennes du Canada au sein de la Banque et le ministère des Finances du Canada se charge de la surveillance financière.
Source : Cabinet premier ministre Canada, 24 septembre 2009
Le G20 est un forum qui encourage des mesures collaboratives sur des questions financières mondiales entre les 19 économies émergentes et industrielles les plus grosses du monde et l’Union européenne. Les économies du G20 représentent 90 pour cent du produit intérieur brut mondial, 80 pour cent du commerce mondial, et deux tiers de la population mondiale. Le Canada a aidé à créer le G20 en 1999 en réponse à la crise financière de la fin des années 1990, et a présidé les trois premières rencontres des ministres des Finances et des gouverneurs des banques centrales. La rencontre des chefs de gouvernement et d’État au Sommet du G20 à Pittsburgh sera la troisième du genre en moins d’un an. La première a eu lieu en novembre 2008 à Washington, D.C., et la deuxième a eu lieu à Londres en avril 2009. Plusieurs organismes internationaux ont été invités aux sommets précédents.
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