Le Ministère des Finances ouvre un site d’information sur les prix des carburants à la pompe pour rouler éco.
La recherche des prix est disponible par commune et par département.
Li Zhaoxing, chef de la diplomatie chinoise et son homologue béninois Mme Boni Aladji ont signé au Bénin, trois accords de prêt, d’aide financière et de remise partielle de la dette béninoise.
http://www.mapaq.gouv.qc.ca/fr/Consommation/condamnations/Pages/Recherchecondamnations.aspx
une version mobile du répertoire : http://www.mapaq.gouv.qc.ca/mfr/Pages/accueil.aspx ?vers=Mobile
Ville de Montréal : http://ville.montreal.qc.ca/portal/page ?_pageid=2136,2655443&_dad=portal&_schema=PORTAL
Insalubrité, température inadéquate des aliments, présence de rongeurs… Le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) désire faciliter la tâche aux consommateurs soucieux de savoir où ils mettent les pieds. Offert depuis plusieurs années sur le Web, le répertoire des établissements condamnés en matière de salubrité vient de subir une véritable cure de rajeunissement. Résultat ? Un outil interactif permettant de faire des recherches selon plusieurs critères, notamment par région, municipalité, adresse, nom de commerce ou type d’établissement. Les résultats obtenus indiquent si les commerces n’ont été condamnés qu’une seule fois… ou s’il s’agit plutôt d’entreprises abonnées aux condamnations du ministère provincial.
Le répertoire inclut non seulement les restaurants et épiceries, mais également les boucheries, les poissonneries, les bars laitiers, les garderies, les cafétérias de centres d’accueil ou d’hôpitaux, les abattoirs, les fermes laitières ainsi que d’autres établissements qui manipulent ou vendent des aliments. Pour les propriétaires de téléphones intelligents qui désirent faire quelques vérifications « sur place », une version mobile du répertoire est détectée automatiquement lorsqu’on accède à l’outil de recherche.
La liste des commerces fautifs n’inclut pas ceux situés sur l’île de Montréal, car la salubrité relève de la Division de l’inspection des aliments de la Ville de Montréal, qui possède son propre outil de recherche interactif depuis plusieurs années.
Bonnet d’âne... pendant deux ans Les consommateurs qui désirent connaître l’historique complet – et peu reluisant – des éternels récidivistes risquent d’être déçus puisque seuls les verdicts prononcés au cours des deux dernières années sont répertoriés. « Même si les condamnations antérieures ne sont pas publiées, l’information permet aux consommateurs d’obtenir un portrait évocateur lorsqu’ils font une recherche sur un commerce en particulier, d’autant plus que sur une période de deux ans, un établissement peut connaître plusieurs changements », affirme Johanne Minville, conseillère régionale en inspection alimentaire au MAPAQ. Les personnes qui désirent consulter les condamnations qui ne sont plus listées peuvent en faire la demande auprès du ministère provincial en composant le
Fait important : certaines entreprises sont répertoriées sous un nom différent de celui affiché sur la devanture du commerce. C’est le cas notamment des franchises ou des bannières (parfois enregistrées sous le nom du propriétaire) et des établissements gérés par des sociétés ou des compagnies. Pour cette raison, mieux vaut faire une recherche par adresse ou par municipalité lorsqu’un établissement en particulier n’apparaît pas dans les résultats.
Pas de panique ! Votre resto favori a été reconnu coupable ? Cela ne signifie pas pour autant qu’il s’agit d’un établissement où les souris abondent. Les infractions concernent parfois un événement isolé, et cela ne veut pas dire que l’ensemble du commerce est insalubre, d’autant plus que certaines infractions sont moins importantes que d’autres. D’ailleurs, la majorité des établissements corrigent leurs pratiques dès qu’ils reçoivent la visite des inspecteurs ou dès qu’ils ont été mis à l’amende.
Si toutefois le restaurant a été condamné à plusieurs reprises, c’est peut-être signe qu’il s’agit d’un commerce aux pratiques douteuses. Libre à vous de décider si vous voulez y retourner… ou pas.
Sous-Marins Le Marinier du 1769, 1re Avenue à Québec - 24 500 $
Restaurant Panda du 984, boulevard Taschereau à La Prairie - 23 265 $ (L’exploitant qui opérait au moment des infractions a cessé ses opérations)
Maison Lotus du 185, Riverside Drive à Saint-Lambert - 20 000 $ (L’exploitant qui opérait au moment des infractions a cessé ses opérations)
Restaurant Québec Drive-In du 5910, chemin Chambly à Longueuil - 17 250 $
Ferme Gemapar du 1160, 9e Rang à Wickham - 15 000 $
Marché Watan du 1445, boulevard Provencher à Brossard - 8 500 $
Restaurant Homard Plus du 3319, boulevard Taschereau à Longueuil - 8 250 $
La ferme laitière 9041-5852 Québec Inc. du 2934, rang Saint-Paul à Saguenay - 7 250$
Château Chambord du 600, boulevard Sir Wilfrid-Laurier à Beloeil - 6 750 $
Casse-croûte du Comité touristique de St-Pierre-de-Lamy de Témiscouata Camping du Lac Sload du 121, route de l’Église à Saint-Pierre-de-Lamy - 6 000 $
Restaurant Bodeli du 5245, boulevard Cousineau à Longueuil - 6 000 $
29 juin 2012
Stéphanie Perron, protegez-vous.ca
Agriculture pêcherie et alimentation Québec