Politique, en Côte d’Ivoire : Fernand Ahibo, 19 ans de protocole et quelques années, proche collaborateur du président Houphouët-Boigny, témoigne de la glorieuse épopée de la Côte d’Ivoire et répond à l’ancien directeur du Protocole d’État. La Côte d’Ivoire n’est plus la même mais nous l’aimons quand même.
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Le Président Gabonais Bongo Ondimba éteint ses 71 bougies (30 décembre 1935 - 30 décembre 2007. Joyeux anniversaire, Monsieur le Président.
Surnommé le "Negus rouge", l’ancien dictateur marxiste Mengistu Haïlé Mariam vit en exil au Zimbabwe. La Cour suprême éthiopienne a écarté, en appel, les appels à la clémence de l’accusé, et l’a reconnue coupable de "génocide".
L’ancien dictateur éthiopien, le colonel Mengistu Hailé Mariam, a été condamné à mort lundi par contumace en appel, ainsi que 17 hauts responsables de son régime, a constaté l’AFP. La cour suprême éthiopienne a décidé de suivre les réquisitions du Procureur de la République qui souhaitait que la peine d’emprisonnement à perpétuité soit transformée en peine de mort pour M. Mengistu et les autres accusés.
"La cour a décidé de révoquer les appels à la clémence des accusés. Elle les a condamnés à mort", a déclaré dans son verdict le président du tribunal, le juge Desta Gebru.
"Ils ont torturé et exécuté en public des milliers d’innocents, ce qui correspond à la qualification de génocide selon la loi éthiopienne", a-t-il ajouté pour expliquer ce jugement.
L’ex-dictateur, qui vit en exil au Zimbabwe depuis le renversement de son régime en 1991, avait été reconnu coupable le 12 décembre 2006 de génocide pendant la période baptisée la "Terreur rouge" (1977-78).
Dans son verdict rendu le 11 janvier 2007, à l’issue d’un procès fleuve de plus de dix ans, la Haute cour fédérale avait pris en compte "les appels à la clémence" de la défense pour refuser de condamner à mort les accusés.
Les procès des responsables du régime Mengistu, accusés d’avoir fait exécuter ou disparaître une centaine de milliers d’Ethiopiens pendant la Terreur rouge, ont débuté à Addis Abeba le 13 décembre 1994.
Celui du "Négus rouge", surnom donné au colonel Mengistu qui a dirigé l’Ethiopie de 1977 à 1991, avait commencé il y a onze ans.
M. Mengistu avait pris la tête du régime militaro-marxiste éthiopien, le 3 février 1977, au cours d’un coup d’Etat sanglant qui lui avait assuré le contrôle du Derg, conseil militaire formé par des officiers dirigeant le pays depuis la chute de l’empereur Hailé Sélassié, en 1974.
Les deux années qui suivirent (1977-1978) furent marquées par de nombreuses arrestations et des milliers d’assassinats dans tout le pays. AFP, Lundi 26 mai 2008