Politique, en Côte d’Ivoire : Fernand Ahibo, 19 ans de protocole et quelques années, proche collaborateur du président Houphouët-Boigny, témoigne de la glorieuse épopée de la Côte d’Ivoire et répond à l’ancien directeur du Protocole d’État. La Côte d’Ivoire n’est plus la même mais nous l’aimons quand même.
Ses années Nanan Houphouët
Son vibrant appel à ses sœurs et frères Ivoiriens
Georges Ouégnin à la Une des médias :
Yes We Can
"I Got a Crush...On Obama" By Obama Girl
VIVA OBAMA 2008
Barack Obama on Ellen
The Audacity of Hope
Spanish Reggaeton
Yes Yes, We Can !
Obama Girl vs Giuliani Girl
One Voice
Hillary Clinton
Le Président Olusegun Obasanjo confirme son départ de la Présidence en 2007
Le Président Gabonais Bongo Ondimba éteint ses 71 bougies (30 décembre 1935 - 30 décembre 2007. Joyeux anniversaire, Monsieur le Président.
Avant de revenir sur cette polémique, il est utile de s’attarder sur le texte lui-même. Nicolas Sarkozy avait prononcé un discours écrit par Henri Guaino devant une assemblée d’étudiants et de personnalités politiques. Lorsqu’on le relit aujourd’hui et il est important de le relire pour le replacer dans son contexte, on se rend compte de son archaïsme et de sa maladresse. Guaino recycle toutes les vieilles idées colonialistes de la fin du XIXème siècle qui ont servi à justifier la « mission civilisatrice » des Etats européens. Lire la suite l’article
La retour à la politique d’association
Ce texte est assez paradoxal puisqu’il commence par une violente attaque du colonialisme mais termine pourtant par adopter une position idéologique presque « précoloniale » vis-à-vis de la civilisation africaine. Sarkozy prendra même le temps de revenir sur les aspects positifs de la colonisation, lorsqu’il dit qu’ « il y avait parmi eux (les colons) des hommes mauvais mais il y avait aussi des hommes de bonne volonté, des hommes qui croyaient remplir une mission civilisatrice, des hommes qui croyaient faire le bien. Ils se trompaient mais certains étaient sincères. Ils croyaient donner la liberté, ils créaient l’aliénation. Ils croyaient briser les chaînes de l’obscurantisme, de la superstition, de la servitude. Ils forgeaient des chaînes bien plus lourdes, ils imposaient une servitude plus pesante, car c’étaient les esprits, c’étaient les âmes qui étaient asservis. Ils croyaient donner l’amour sans voir qu’ils semaient la révolte et la haine. »
Nicolas Sarkozy ira jusqu’à ajouter qu’il n’est pas « (...) Mancioday